Dans les fêlures du Temps

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Mon recueil de poèmes « Dans les fêlures du Temps » est en cours d’impression, édité par une belle petite maison d’édition bretonne « Couleurs et Plumes » à l’initiative du poète Xavier Pierre que je tiens à remercier encore très chaleureusement.

"Le recueil raconte ces moments d’existence, parfois ténus, souvent heureux, quelquefois tragiques qui forment la chaîne et la trame de nos vies, un Temps qui se veut continu mais qui est composé de tous ces grains de vie, de nos vies, à la fois doux, extensible et impitoyable."

Format A4, 86 pages, 28 poèmes traduits graphiquement par deux artistes iraniens Titouan et Behi, 20 dessins couleur et 6 en noir et blanc. Titouan et Behi apportent leurs regards et leur compréhension du Temps reçue de la culture persane. C'est la confrontation des perceptions occidentale et moyen-orientale qui est à l'oeuvre dans leurs présentations graphiques.

Le recueil sera disponible à partir du 10 septembre dans le réseau de librairies partenaires de Couleurs et Plumes en Bretagne et dans l'île de Ré. Il pourra aussi être commandé sur le site de la Fnac, chez de bons libraires ou directement en me contactant.

Vous pouvez accéder au flipbook du recueil pour le découvrir en cliquant sur l'image de la page de couverture.

 

 

 

Le recueil sera présenté par Titouan et moi-même au salon de la poésie Renée-Solange Dayres de Dinard le dimanche 10 septembre.

Pour accéder au site du salon Renée-Solange Dayres, cliquer sur l'affiche du salon:

Nous serons également présent au Salon du livre Breizh Littéraplume organisé au château de Pommorio à Trezeneuc dans les Côtes d'Armor le dimanche 26 novembre.

Pour accéder au site du salon Breizh Littera plume, cliquer sur l'affiche:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec Titouan, nous participerons aussi à l'événement culturel Rad'Art sur Locmiquélic le week-end des 23 et 24 septembre. Il s'agit d'un événement étonnant, surprenant, passionnant au cours duquel des artistes peintres, plasticiens, poètes ou autres exposent leurs oeuvres seuls ou à plusieurs chez eux. Nous exposerons les travaux de Titouan et mes poèmes dans la maison du Pêcheur à Locmiquélic.  Je publierai des informations plus précises au moment voulu.

 

Ouvrages collectifs

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  • Edition de Demain III dans l'anthologie annuelle « Recueil de poèmes 2022 » aux éditions France Libris publiée par l'association « Poètes de l’amitié - Poètes sans frontières », collection "L' Aéro-page"

Extrait:

Demain qui rit, demain qui pleure

On verra bien demain.

Quel chemin prendrons nous ?

Demain est autre jour.

Alors !

Alors, viens mon amour

Viens, viens !

Allons nous allonger, nous caresser, nous couvrir de baisers

[...]

Lundi 4 mai 2020 – Locmiquélic - La Maison du Pêcheur

Dans les recueils "Dans les fêlures du Temps" et "Pour les yeux d'Isa"

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n°186 de la revue Florilège

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Elle court, elle court la poésie

J’ai lu quelque part que la poésie n’aurait plus rien à dire. Étrange cécité !

La poésie est comme les autres formes d’art, une possibilité de capter les émotions du monde et de les lui renvoyer. Publiques ou intimes, ces émotions sont universelles, fruits de notre condition humaine. S’interroger sur le temps qui passe, les mystères de la beauté d’une fleur, les douceurs et les violences de l’amour, le regard perdu d’un passant, les conditions meurtrières de traversée de la Méditerranée d’hommes et de femmes fuyant la misère d’un ailleurs si proche, la disparition des abeilles, la souffrance d’une femme battue, les ressorts cachés de nos joies et de nos peines, autant d’émotions partagées que la poésie capte et nous renvoie.

La poésie est aujourd’hui vivante, partout, pratiquée, lue, chantée, écoutée et si elle n’a plus l’honneur des médias qui ont pignon sur rue, elle parcourt avec bonheur nos quartiers et nos villages. Notre pays est irrigué de centaines de revues et maisons d’édition qui se consacrent à l’art poétique, au service de milliers de poètes, de tous âges, des deux sexes qui trouvent dans leur art le moyen d’échanger leurs émotions et leur amour des mots. Partout vivent des ateliers d’écriture, des cercles de lecture, des festivals. Des spectacles naissent chaque jour, tous en équilibre, toujours menacés, un combat de tous les jours sous le regard vide de beaucoup de nos édiles.

Dans ce siècle déboussolé, plus que jamais la poésie doit pouvoir tout dire, de nos futilités, de nos souffrances, de nos révoltes, de nos outrances, avec violence, délicatesse, chacun dans son style, des styles qui parcourent toutes la gamme des mots et de leurs arrangements. Les poètes composent les mots comme les peintres les couleurs, les musiciens les sons, les danseurs les formes du corps.

Ensuite ? Le poème vole de ses propres ailes. Il vole, créé, recréé par ceux qui le publient, le lisent, le disent, le slament, le rappent, le chantent dans l’intimité d’une chambre sous les toits, accompagné d’un luth ou au micro d’une salle saturée de musique électrique. Il est bon parfois de se rappeler ce cris de Léo Ferré : « La poésie est une clameur. Elle doit être entendue comme la musique… »

Affirmer que la poésie n’a plus rien à dire, c’est penser que nous savons tout de nous et de nos rapports au monde. Et pourtant ! nous sommes à nous mêmes les premiers mystères de l’existence et aux autres le second. De quoi explorer jusqu’à la fin des temps.

 

Antoine LEPRETTE

Texte publié en éditorial dans le numéro 186 de la revue Florilège.

On peut aussi y trouver le poème Quinze ans (cf. Plus bas)

 

 

 

 

 

 

 

Songes avant dormir

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Classé dans : Voyages en poésie, Publications-Evénements Mots clés : Amour

Poème publié dans le n° 185 (Décembre 2021) de la revue Florilège.

 

Les yeux mouillés,

Ma vue brouillée,

Mon regard se noie dans le marc du café,

Images perdues de mes mondes inventés.

Je songe !

 

......................... Suite du poème dans le n° 185 de la revue Florilège

Antoine Leprette

 

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